XANADU: THE BASTARD'S DREAM // 56TH BIENNALE DI ARTE VENEZIA 2015// COLLATERAL EVENT
 
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XANADU: THE BASTARD'S DREAM   news and links

In the frame of his long term project XANADU: THE CONTEMPORARY DREAM TEMPLE Nikunja exposes this interactive transmedial art installation on selection of the artistic director and Chief Curator of this year's Venice Biennale of Contemporary Art, Okwui Enwezor as a Collateral Event:

 

XANADU: THE BASTARD’S DREAM

The Bastard is the one who is not belonging to anything but who is suspended between everything: between races, religions, ideologies, cultures, identities, histories; he is he, who unites the contradictions, bridges the gaps between communities, morals, ideologies; by the nature of his illegitimacy he makes possible the renewal of the legitimate; the bastard is the only artist possible and the only future citizen of the world.

The Bastards Dream is Nikunja’s evolutive exhibition, part of the large scale XANADU project, suspended in time, suspended between medias, between the artist and the visitor, an exhibition, never accomplished, never assured, an open-ended poetry in constant progress by and with each visitor. The Bastard is You, the traveller between cultures, between consciousness, the adventurer of your life’s experiences.

Nikunja concentrates on the cultural and spiritual energy between things, the interactivity as the black cultural energy on which all civilisations are built. This energy is more important as the individual things as such, for progressive in nature, unfixed, infinite, inclusive, synthetic, suspended between origins and reasons and extremely precise.

The Bastards Dream is about the dream in you, the origin of the future in the making; it is the age-old dream of the united humanity, united not under suppressing uniformity, but by the suspended awareness of the bastard’s consciousness: Je suis un Autre, as the bastard Rimbaud wrote.

Xanadu: The Bastard’s Dream is born in Reunion Island, it’s name not a place, but an act, the country of the bastards, uniting all contradictions: Reunion Island is not a Nation, but an Imagi-Nation, suspended between the explosive creative powers of the unpredictable active volcano and the infinite life-spending and life-taking dangers of the Indian Ocean, suspended between all the major world cultures. This constant insecurity make people friendly, but dangerous, because undecided. This suspension in time and space, without real history, without any future but a cultural and artistic one, make weak people powerful and the strong people alert in their reclusion, observing the pretence of false values, waiting for the moment, when they may show their secret treasures. For their treasures are rich: they unite all the world’s futures.

For Xanadu: The Bastard’s Dream, Nikunja collaborated with performance artist MANNEE for the movie performances, which were developed based on her real dreams, avoiding their simple representation. With Swiss electronic musician ALAIN PERRET he collaborated for the sound creation playing the Indian dilruba.

The exhibition is supported by:
Conseil Regional and Conseil General de La Reunion, Pro Helvetia, Musee Leon Dierx
Valcoba AG, Air France, Lux Ressort La Reunion
special thanks: Daniel Ebner, Bastien Ebner, Sami Chalak, Alain Perret, Vincent Garrigues, Mannee
contact: artrun.fr@gmail.com; nikunja.info@gmail.com;
nikunja.net, nikunja.org

 

XANADU: THE BASTARD’S DREAM XANADU: LE REVE DU BATARD

Exposition de l’artiste Nikunja à la 56e Biennale des Arts de Venise, Evenement Collatérale - Institut Santa Maria della Pieta - Venezia du 9 Mai au 22 Novembre 2015

Le Bâtard est suspendu entre tous, il n’appartient à rien; il est suspendu entre races, religions, idéologies, cultures, identités, histoires ; c’est lui qui unit les contradictions, tel un pont entre communautés et morales ; par la nature de sa illégitimité, il permet le renouvellement du légitime ; le bâtard est le seul artiste possible et le seul citoyen du monde du futur. Comme la ville et l’île de Venise, suspendues entre ciel et terre, entre rêve et réalité, entre vie et mort, entre passé et futur, Xanadu: The Bastard’s Dream est l’exposition évolutive de l’artiste franco-suisse Nikunja, né à Bâle et vivant sur l’Ile de la Réunion, trans-medias, entre spectateur et artiste ; une exposition jamais accomplie, jamais assurée, une poésie infinie en constant progrès, par et avec chaque visiteurs.

Par cette exposition, issue du projet plus monumental Xanadu: le temple contemporain du rêve qui est toujours en développement, Nikunja se concentre sur l’interactivité comme énergie créatrice, la matière évolutive entre les choses. Entre peintures, images en mouvement, sons, installation d’art, performance, Nikunja a créé et composé un filet de relations interactives lié par la lumière du jour, appelé à la vocation d’acteur majeur. La lumière du jour, filtrée par des étoffes oranges et mauves, ou dirigée par un petit cadre de l’autre côté de la salle, intervient sur les images projetées en temps réel, comme par la réflexion des eaux du canal sur l’écran de projection.

L’autre acteur principal dans la constellation de l’exposition est le spectateur. Dès son entrée, il définit par ses mouvements premiers les interactions entre les feuilles peintes et leur environnement, suspendues dans l’espace en chorégraphie légère. Et puis il est invité à prendre place sur l’installation d’un lit, ou plutôt d’un hamac suspendu au-dessus de buchers et d’un long tube de cuivre orné. Aussitôt, le visiteur complice apparaisse dans les images en mouvement et devient partie du film projeté. En prenant son temps, il peut interagir avec ces images en temps réel. Et puis l’artiste, s’il est présent, lui propose de choisir une partie de son corps à peindre qui sera imprimée sur une petite plaque en terre cuite. Ces petites plaques de 10cm x 5cm viennent s’ajouter à l’alignement tout au long des murs de la salle au fil des sept mois d’exposition et deviennent partie intégrante de l’installation. “Je me concentre sur l’énergie culturelle et spirituelle entre les choses, l’interactivité comme “matière noire”, telle que récemment découverte dans la science physique, sur laquelle toute civilisation est construite. Cette énergie est plus importante que les choses individuelles en soi, car elle est progressive

dans sa nature, infinie, inclusive, synthétique, suspendue entre origines et raisons et extrêmement précise”, confie le créateur.

Xanadu: The Bastard’s Dream est dirigé vers le rêve en soi et en toi, l’utilisateur de l’œuvre d’art, car le rêve est l’origine du futur en devenir ; c’est le rêve le plus ancien de l’humanité en union – non pas unie par l’uniformité dictatoriale mais par la conscience suspendue du Bâtard. « Je est un Autre », disait le bâtard Rimbaud, dont on trouvera le livre dans une petite installation au sein de la fenêtre ouverte sur le canal. Xanadu: The Bastard’s Dream est né à la Réunion, dont le nom est un acte, non pas un lieu, le pays des bâtards unifiant toutes les contradictions. La Réunion n’est pas une nation mais une imagi- nation, quelque part entre les puissances explosives de l’imprévisible volcan et les forces dangereuses de l’océan Indien qui donnent ou prennent la vie; entre toutes les cultures majeures de l’homme. Cette insécurité fait de nous des gentils, mais de dangereux gentils, car indécis. Cette suspension en temps et espaces, sans histoire réelle, sans un devenir possible autre qu’un futur d’importance culturelle et artistique, offre aux faibles de puissantes visions et aux forts la tentation recluse des ravines ; la guérilla des fausses valeurs n’aura qu’un temps, en attendant l’heure des trésors secrets. Car leurs trésors sont riches : ils unissent “All The World’s Futures”, titre donné à cette édition de La Biennale par son directeur artistique et curateur Okwui Enwezor et qui avait sélectionné Xanadu pour exposition.

Pour Xanadu: The Bastard’s Dream, Nikunja a collaboré avec l’ artiste performeuse mauricienne Mannee, dans un film créé sur la base de ses propres rêves, doublant leur simple représentation. Avec le musicien électronique suisse Alain Perret, il a composé la bande-son en jouant entre autre la vièle indienne dilruba.

L’exposition est soutenue par : le Conseil régional de La Réunion, le Conseil général de La Réunion, Pro Helvetia, le Musée Léon Dierx, Valcoba AG, Air France, Lux Resorts La Réunion.

Remerciements de l’artiste: Daniel Ebner, Bastien Ebner, Sami Chalak, Alain Perret, Vincent Garrigues, Mannee, Fred Lambolez

contacts: artrun.fr@gmail.com ; nikunja.info@gmail.com ; www.nikunja.org photos: artrun.fr@gmail.com

 

 

 

 

XANADU: LE RÊVE DU BÂTARD, Visite Guidée en français

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official Xanadu Biennale Trailer:

https://youtu.be/ufMnoZMSCR4

on vimeo (high quality)

https://vimeo.com/nikunja/xanadubiennaleclip

 

 

Since May 9th and the opening of the exhibition, daily between 200 and 300 visitors see the exhibition and many participate in the proposed installation. Please see photos and information at our facebook page. You may also upload your own comments and photos. Thanks.

 

 

 
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